7 mars 2024 à 10h24 par Fabien Taccard-Blanchin

« Essayer de créer l’exploit » pour l’US Montauban à Biarritz

Après 4 défaites consécutive, Montauban se déplace ce vendredi 8 mars (19h30) à Biarritz, adversaire direct dans la course au maintien en ProD2. Dans un stade où historiquement, l’USM ne s’est jamais imposé.

Kevin Gimeno, deuxième ligne de Montauban
Kevin Gimeno, deuxième ligne de Montauban
Crédit : FTB Totem

 

Deux équipes qui pouvaient espérer les phases finales en début de saison. Deux équipes qui se retrouvent à lutter pour le maintien en ProD2. C’est un véritable match de la peur qui va avoir lieu au stade Aguilera ce vendredi 8 mars (19h30), entre Biarritz et Montauban, à l’occasion de cette 23ème journée.

Le BO, premier relégable avec 39 points (15ème au classement), pris par des affaires extra-sportives, espère passer devant son adversaire du soir.

L’USM, qui vient d’enchaîner 4 défaites consécutives, dont la dernière dans le derby face à Agen vendredi dernier (26-27), n’est pas vraiment en meilleure posture, avec 40 points (13ème). C’est dans ce contexte que les coéquipiers de Kevin Gimeno, qui a passé deux saisons à Biarritz, vont tenter de s’imposer sur un terrain où ils n’ont historiquement jamais gagné.

 

 

SUR LA DEFAITE DANS LE DERBY CONTRE AGEN

On perd d’un point. C’est frustrant, encore une fois ça se joue à pas grand-chose. Mais le jour où ça va basculer, j’espère ce week-end, avec la confiance sur une bonne dynamique on pourra faire de bonnes choses.

 

SUR LA RENCONTRE FACE A BIARRITZ

Le contexte va être particulier. Je pensais qu’on allait faire les phases finales là-bas quand on regardait en début d’année. Et finalement, ça va être nos phases finales à nous, le match de la peur. Un match à 8 points, où il est interdit de perdre, pour une équipe comme pour l’autre. On va essayer de créer l’exploit.

 

SUR LA LUTTE POUR LE MAINTIEN

On a de l’expérience, malheureusement oui, ça me fait chier de dire ça, mais jouer le maintien avec Montauban ce n’est pas le but. On voit que par rapport à l’année dernière on se retrouve dans la même situation. On sait comment faire, il faut se resserrer, joueur peut-être plus simple et jouer sur nos points forts.