Quel avenir pour les papeteries de Condat ?

On va les mettre devant le fait accompli, leur montrer que l'avenir des papeteries n'a jamais été aussi sombre qu'il ne l'est aujourd'hui. Et on veut les alerter en disant que si demain Condat ferme, c'est tout un territoire qui va disparaître, disparaître complètement. Il y a des services publics qui vont disparaître, peut-être des écoles primaires qui vont fermer. Bien sûr, nous, salariés Condat, dans un premier temps, nos salaires sont en jeu. Mais après, c'est tout notre bien-être, tout notre territoire qui va être touché. On ne veut pas que notre territoire disparaisse du jour au lendemain. L'issue finale, c'est qu'il faut que le groupe Lecta vende Condat.